Jeudi 9 novembre (matin) : école G. Lods et Collège de Magenta

Paul s’est d’abord rendu ce jeudi à l’école Gustave Lods, au nord de Nouméa.

Les élèves de Maîtresse Virginie et de Maître Frédéric l’ont accueilli en lui offrant de magnifiques tressages : bouquet de fleur, couronne…

C’est en musique que la réception s’est poursuivie : les deux classes avaient réécrit une chanson traditionnelle en y mêlant l’histoire du roman Poules, Renards, Vipères.

Voulez-vous chanter avec eux ? Voici les paroles !

Les élèves se sont ensuite livrés au traditionnel je de questions-réponses, à la suite duquel Paul a interprété, à la guitare, la traditionnelle chanson de Poules, Renards, Vipères.


Deuxième partie de matinée au collège de Magenta

Les élèves, aux visages dissimulés par des masques de poules, de renards ou de vipères, ont accueilli Paul avec une réécriture du chant traditionnel la jument de Michao (mais si, vous connaissez l’air !) :

“J’entends les poules, les renards et les vipères,
J’entends les poules et les poussins piailler !”

Une coutume de bienvenue a succédé à cette surprise initiale.

La lecture du roman a été l’occasion d’un très gros travail des élèves, qu’ils ont pu partager avec Paul ce matin. La première lecture fut celle d’une production (rimée !) sur le livre.

Une saynète est interprétée par plusieurs élèves : le passage de l’envol de la plume, au début du roman.
Deux élèves présentent une réécriture du livre avec des animaux de chez nous : le tricot rayé, le cagou, le chien bleu. C’est Charlène qui nous lit cette histoire.

Les élèves ont participé en grand nombre à l’atelier de lecture pour préparer le concours de lecture à voix haute. D’ailleurs, Juliette, la lauréate du concours de lecture à voix haute pour la province Sud, qui est élève dans cette classe, offre une belle lecture d’un extrait du roman.

Pour connaître un peu mieux Paul Ivoire, un jeu du portrait chinois lui est proposé :

  • Pour découvrir un lieu que je ne connais pas, je suis plutôt de l’aurore.
  • Si j’étais un arbre calédonien, je serais l’arbre voyageur qui invite à l’aventure.
  • Parmi les musiques calédoniennes, celle qui pourrait me toucher plus que les autres serait le chant de la toutoute quand nous soufflons dedans.
  • L’expression avec des animaux dans laquelle je me reconnais davantage est “être doux comme un agneau”.
  • Le lieu que je choisirais pour écrire serait une plage bordée de cocotiers.
  • Pour une prochaine histoire, je m’inspirerais plutôt du tricot rayé.
  • Je choisirais, comme disciplines scolaires à rendre obligatoire, l’imagination et l’écologie !
  • Pour un lâcher-prise en Calédonie, je serais tenté par une marche au coeur de la nature
  • Enfin, mon rêve est celui que je suis en train de vivre avec vous particulièrement aujourd’hui !

Les questions sur le métier d’écrivain ont succédé à ce temps.

Mme Dedieu a ensuite accompagné les élèves au clavier sur l’air de « il y a » pour rendre hommage à Paul, qui a lui aussi interprété un chant à la guitare.

Un goûter a succédé à ce temps exceptionnel.

Merci à M. le Directeur pour son accueil, merci à Mmes Mercier, Lanneval, Murcie pour leur formidable présence auprès de ces élèves motivés !
Et merci à Mmes Moret et Abdelkader, les professeures d’arts qui ont aussi encadré les élèves pour préparer ce moment passé avec Paul Ivoire.

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